Fuking machine
Depuis le temps que j'en parle, cela devait bien arriver.
Mon sèche-linge m'a définitivement lâché dimanche en fin d'après midi. Comme si, je n'avais pas assez de soucis en ce moment. Oui c'est bon, je sais, y'a pire dans la vie, y'a la grippe A, la B (enfin, la normale quoi), des enfants qui meurent de faim etc... mais quand même, mon sèche-linge is dead.
Remarquez, ce n'est pas comme si il m'avait abandonné brutalement, non, je m'y étais phsychologiquement préparée. Je l'ai vu mourir à petit feu cet engin... agoniser et me mettre quasi vingt quatre heures pour me sècher 5 kg de linge...
A ce jour, y'a pas trente six solutions. Faut que j'en rachète un. Le problème, c'est que... autant je m'y étais préparée psychologiquement, autant financièrement disons que...
Houlala, ma mère me lirait, je l'entends déjà :" Mais enfin, Catherine (oui, parce qu'en vrai, je vais te faire une révélation public, je ne m'appelle pas Cosmo mais Catherine) (chuttt !!!) ça fait 6 mois que tu nous en parles de ton sèche-linge, tu aurais pu prévoir tout de même. Hein Gérard (mon père) elle aurait pu prévoir" ?
Oui, bin non. J'aurais pu effectivement, mais j'ai pas eu le courage. Je bosse pour l'anti crise moi, la remontée du pouvoir d'achat, l'anti chômage !!!
Ah vous pouvez critiquer et me traiter de panier percé mais en attendant, si tout le monde réagissait comme moi, nous n'en serions pas là. Même mon banquier a du taff avec moi, c'est vous dire...